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    Date : xxx

    Maîtrise d’ouvrage : EPFY

    Budget : xxx

    Équipe : Agence Dialogue Urbain Architecture Urbanisme,
               Olatz Lopez Paysage, Adéquation programmation, SNC Lavalin VRD

    Programme : xxx

    Surface : xxx

    Localisation : Mantes-La-Ville

 

Étude urbaine et de faisabilité sur le secteur des Hauts Villiers – Mantes-La-Ville

La mission


Le site en friche des Hauts Villiers se trouve à l’extrémité est du quartier résidentiel du Maupomet, dont les habitants vieillissants se sentent isolés du reste de la commune. Il est enclavé entre une zone d’activités et les voies de chemin de fer au nord et l’autoroute A13 au sud.

Grâce à un dénivelé de 25 mètres à l’est, le site profite d’une situation de belvédère sur Guerville et la Seine.
Le site des Hauts Villiers offre la possibilité d’étendre le quartier du Maupomet par une opération d’habitat.

Le projet consiste en un programme de 125 logements articulés autour d’espaces publics. L’accueil de nouveaux habitants sur un secteur comme celui-ci, situé en limite de commune, est souvent un exercice difficile, car se pose avec acuité, la question du rattachement du nouveau secteur à l’existant. La diversité des typologies permettra d’accueillir une pluralité d’habitants. L’aménagement du site se fait dans la continuité du quartier du Maupomet : l’objectif est de compléter ce quartier en s’inspirant des types de logements existants pour les futures constructions.

Pour créer un véritable cadre de vie pour les nouveaux habitants, l’accent a été mis sur la qualité environnementale du projet.

Le projet

Le premier scénario proposé repose sur une organisation
du quartier centrée autour de l’école du Maupomet. Le second quant à lui repose sur la poursuite vers l’Est du principe d’espace paysager
structurant réalisé au sein des logements de la société « la Cellophane ».

Le choix entre les deux scénarios est lié à la population attendue pour compléter la population du quartier et  à l’ambiance urbaine souhaitée pour l’accueillir. Dans un cas, le centre de gravité urbaine se situe autour de l’école, dans l’autre cas, il s’étire vers l’Est au sein même des nouvelles opérations.

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In fine, c’est le scénario n°2 qui a été retenu par la ville. L’aspect paysager du projet
a ensuite été développé en profondeur, notamment le « jardin de pluie ».

Véritable lieu fédérateur du quartier, le jardin de pluie accompagne les bâtiments et intègre
la gestion des eaux pluviales par un système de rétention et stockage de l’eau.

Le « jardin de pluie » formalise la centralité verte du quartier, il offre une composante
paysagère forte et participe à la qualité du cadre de vie.